Ce
qui sidère le plus avec l’homosexualité, c’est le paradoxe entre ses dimensions
physique et spirituelle. Voyez-vous, un homme ou une femme décide d’ignorer le
sexe opposé pour s’acoquiner avec quelqu’un de son sexe. A priori, on pourrait
dire que c’est son choix et qu’on n’en a rien à battre si il ou elle est
attiré(e) par son semblable (au sens sexuel du terme).
Mais,
là où ça devient difficile à comprendre, c’est qu’à la base de ces relations
atypiques, il y a une espèce de reconstitution de relation ordinaire,
c’est-à-dire hétérosexuelle. Ainsi, dans un couple gay, l’un des partenaires
reste homme tandis que l’autre se fait, souvent à merveille, femme. Idem pour
les couples lesbiens où l’une des minettes joue le rôle d’homme.
Alors,
la question qui mérite de se poser est la suivante : à quoi bon aller vers
des personnes du même sexe que soi si c’est pour vivre – au moins
psychologiquement – la même chose que dans une relation normale ? En
clair, pourquoi les deux partenaires ne se comportent-ils pas à la fois comme
deux vrais hommes ou comme deux vraies femmes ?
A
la vérité, les homosexuels ne sont pas si fous que cela. Car, ils savent bien
que leur relation n’aurait plus de sens – et prendrait donc fin – dès l’instant
où ils se verraient comme personnes du même sexe. Oui, ils savent parfaitement
que le vrai amour, le vrai mariage, c’est celui entre un homme et une femme,
sinon l’un des gays ne se ferait pas femme ou l’une des lesbiennes ne se ferait
pas homme. Ils ont donc seulement décidé d’aller physiquement vers des
personnes du même sexe, mais psychologiquement, émotionnellement,
spirituellement vers des personnes de sexe différent.
L’homosexualité
n’existe donc que physiquement. Dans la tête, ça demeure une sexualité, certes
bancale, mais normale… Cela dit, elle n’en demeure pas moins contre-nature et donc condamnable !
Petite réflexion faite en marge de l'écriture de la nouvelle "Homofolies", in Des Vies A Refaire Tome 1 (A paraître)
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