dimanche 8 mars 2015

Hymne à la beauté féminine

En cette journée internationale de la femme, j’ai choisi d’offrir à toutes les femmes du monde ce que je sais faire le mieux : des mots, des phrases, des paragraphes, des chapitres… pour leur dire combien elles sont belles.

 
Elle paraissait vraiment irréelle, à la voir de plus près. Ses yeux argentés étaient à équidistance d’un nez fin en dessous duquel se dessinait une bouche comme on n’en trouve que dans les telenovelas. Tous ces organes étaient repartis sur un ovale délicat couronné de cheveux longs et impeccablement peignés. Son teint à la coloration café n’avait manifestement subi la moindre érosion depuis sa naissance, et sa robe épousait parfaitement sa silhouette aussi gracieuse que celle d’un top model. Elle aurait vraiment été parfaite pour faire la une d’un magazine people. (…) Ses longs cheveux grossièrement rassemblés en une espèce de chignon la rendaient beaucoup plus sensuelle. La petite serviette rose qu’elle avait, en plus, ceinte sur la poitrine et s’arrêtant à mi-cuisse dévoilait des jambes qu’on devinait aussi lisses que de l’argile verte mouillée. (Extraits de « Amour interdit », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)

Même marqués par une sorte de lassitude, ses traits révélaient toute leur finesse. Ainsi que ses yeux, leur éclat. Ses lèvres qu’elle avait entrouvertes dans l’élan de la réflexion présentaient des dents d’un blanc insoupçonné de bien de générations d’artistes peintres. (…) Le maillot deux pièces en fausse peau de panthère lui paraissait une première couche épidermique, tellement il épousait le clair-obscur de son teint. Sa silhouette était d’une agréable finesse avec des crêtes iliaques légèrement saillantes soutenues par des cuisses oblongues et des jambes fuselées en dessous d’un ventre plat et surtout une poitrine déformant convenablement la pièce supérieure du maillot. (…) Le pantalon de lastex noir semblait avoir été directement cousu sur elle, tellement il lui faisait ressortir les formes. Plus haut, un body crème faisait tout sauf dissimuler une poitrine épargnée pour l’occasion du moindre soupçon de soutien-gorge. Son visage ravissant était imprégné d’une sensualité quelque peu bestiale, surtout avec sa bouche qui, pour cette soirée spéciale, semblait n’avoir été conçue que pour embrasser. Quant à ses longs cheveux, elle les avait rassemblés en une coiffe qui l’aurait mise au top pour un défilé de carnaval. Elle dégageait, pour tout dire, une radioactivité sensuelle à reconvertir le pédéraste le plus dévoué. (Extraits de « Le répétiteur tant aimé », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)

Une jeune fille se tenait sur le perron. Son visage était d’une beauté toute particulière avec surtout une bouche dont elle devait sans doute l’épaisseur à des liens familiaux lointains avec Angelina Jolie. Ses cheveux bouclés comme ceux d’une altesse sérénissime du XVIIème siècle britannique ajoutaient, eux, une touche royale à son charme. Et son tricot au col assez profond présentait les premières courbes d’une paire de seins mûrs tandis que son pantalon, à l’étroit, lui moulait les cuisses fuselées. Le genre de fille sur qui on ne peut se lasser de promener le regard… (…) En pantalon de cuir noir avec un tee-shirt dont le col seul rappelait qu’il était blanc, dégoulinante de sueur, échevelée, démaquillée, le regard comme effaré… elle était tout simplement sauvage. Mais en même temps si attirante… (Extraits de « Amours jumelles », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)

Larissa, avec le pas lent et assuré d’une impératrice venait de faire son apparition dans la grande salle, aussitôt couvée de mille et un regards. Entre son visage dont la finesse des traits témoignait de l’intarissable inspiration du Créateur, ses formes qui bien que pas très généreuses gardaient leurs distances avec la sveltesse et surtout sa poitrine sur laquelle la main la plus innocente même aurait eu envie de s’attarder, (…) renoncer à elle aurait été aussi téméraire que faire la grève de la faim devant une pizzeria. (Extraits de « Amours croisées », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)
 
Elle était incontestablement la plus belle de la salle avec la fleur couleur framboise dans ses cheveux bouclés. Son visage d’une faramineuse finesse hébergeait des yeux de lynx, un nez aux confins de la droiture et une bouche comme dessinée par Picasso lui-même. Le tout était rehaussé par un maquillage léger et agencé sur l’ovale avec une précision fantasmagorique. Elle était tout simplement belle comme les sud-américaines savent si souvent l’être. (…) Avec sa poitrine pleine, ses hanches délicatement arrondies et ses cuisses fuselées, elle était appétissante. (…) Ondulant entre les tables, elle arrivait, plus ravissante que deux jours auparavant. La mini-robe cachait à peine les deux premiers tiers de ses cuisses, offrant aux regards deux belles jambes bronzées. Sa poitrine était rendue encore plus agressive par les pointes de ses seins bien mises en évidence par la flagrante absence de soutien-gorge sous la robe. De quoi désarmer le plus coriace des miliciens. Elle faisait taire toutes les conversations sur son passage et son dos nu narguait fièrement ceux qui se retournaient stoïquement pour la contempler. (Extraits de « Le collectionneur (d’amours) », in Les Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)

Des cheveux noirs très abondants. Des yeux grands et clairs qui semblaient s’agrandir davantage. Puis de fines lèvres qui frémissaient, qui bougeaient et qui semblaient prononcer quelque chose (…) Cette dernière avait des yeux dont l’éclat stellaire animait un beau visage aux traits réguliers. Ses cheveux noirs et coupés très court sur la nuque lui donnaient un air juvénile contrastant avec les rondeurs d’un corps ferme et une poitrine rebondie. (…) Ses cheveux qu’elle avait laissés au vent, bien que coupés court, vibraient sur sa tête. Ce qui, allié à la gaieté de son visage, lui donnait plus que jamais un air de gamine, mais toujours en contraste parfait avec le reste de son corps rappelant, lui, celui d’une femme accomplie. (…) elle avait complètement déboutonné sa chemise, mettant en exergue la nudité d’un ventre plat et des seins parcimonieusement dissimulés par un soutien-gorge des plus généreux. (Extraits de « Amour sauvage », in Les Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)
D’où sortait-elle, celle-là, avec ce charme saturnien ? Les cheveux au vent, le regard désarmant, le sourire angélique, les dents d’un blanc scintillant, la forme élancée à peine protégée par le fameux tee-shirt des serveuses du bar supra un jeans qui, dans un passé lointain, avait dû passer le premier tiers de ses cuisses… elle sortait vraiment de l’ordinaire. (…) Sonia était vraiment ravissante. Non seulement elle avait un sourire hallucinant de beauté, mais ce qui troublait le plus chez elle c’était le sex-appeal qui se dégageait de sa plastique apparaissant pour le coup dans toute sa générosité sous la petite robe couleur arc-en-ciel. (Extraits de « Love is money », in Les Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)
 
La beauté (…), elle en est indubitablement l’incarnation ce soir. (…) Ses cheveux plissés en cascade couronnent son beau, son doux visage empreint d’une joie indescriptible tandis que ses sourcils délicatement rangés accentuent l’éclat de ses yeux couleur de miel. (…) Elle est splendide dans sa robe de toile d’une blancheur marmoréenne. Elle (…) sourit tendrement. (…) C’est l’un de ces sourires qui restaurent la vue à l’aveugle. (Le temps qu’il l’admire bien entendu.) Dieu, qu’elle est belle ! (…) elle est sublime. Le bikini semble avoir été coulé sur elle. Son corps est doré au soleil et son sourire, toute une féerie. (Extraits de « Au tréfonds de l’amour », in Les Méandres de l’Amour, Tome 3  – Á paraître)
(…) une fille s’était levée depuis les rangées de l’arrière-salle, avait parcouru l’allée avant de gravir les marches du podium. Comme elle approchait, la lumière d’un projecteur l’avait éclairée (…) Le léger maquillage donnait à son visage un charme tout particulier. La longue robe noire lui allait comme un gant, faisant ressortir de quoi causer une épidémie de torticolis sur son passage. Sa poitrine, tendant le tissu à le perforer, surplombait un bassin légèrement cambré tandis que plus bas, la fente de la robe découvrait une jambe dont une représentation grandeur nature aurait assurément fait l’objet d’un cambriolage au musée des arts et civilisations. (Extraits de « Le dernier sursaut d’amour », in Les Méandres de l’Amour, Tome 3  – Á paraître)
 
Avec sa chevelure abondante et soyeuse, sa mine dont le caractère angélique était fréquemment démenti par un sourire carnassier, la petite robe de soirée lamée d’argent offrant au balconnet du décolleté une poitrine qui aurait attiré même la main d’un manchot, ses longues jambes fuselées... elle incarnait tout simplement la tentation. (…) Sa traversée du restaurant avait fait exécuter un véritable ballet à tout le monde ; personne – hommes comme femmes – n’ayant pu résister à l’envie de se retourner sur son passage. Son compagnon, lui, ne pouvait dissimuler le bonheur de se trouver aux côtés d’une créature aussi magnifique. (…) Le bikini semblait avoir été peint sur elle, tellement il était serré. La poitrine déformant convenablement la pièce supérieure du maillot, le ventre plat strictement nu et le pubis pointant légèrement à travers le mince slip, elle réapparut. (Extraits de « Entretien de débauche », in Vicissitudes, Harmattan, Paris, 2015)

Toujours présentable, les cheveux impeccablement peignés, les vêtements conjuguant propreté et style… Et, pour couronner le tout, un visage dont l’étonnante beauté témoignait de la dextérité du Créateur. (…) Avec sa mine dont le charme était rehaussé par un léger sourire, la robe de soirée à l’avant décoré de fines paillettes et dont le décolleté assez profond laissait entrevoir une poitrine attrayante et palpitante… elle incarnait tout simplement le rêve impossible. (Extrait de « La balade de clerc », in Vicissitudes, Tome 2 – Á paraître)
 

PS : Il est vrai que je ne sers là que la description de la beauté féminine dans sa plus jeune expression. Mais, entendons-nous bien, la beauté de la femme n’a pas d’âge et, comme le montrent les images, pas de frontières non plus…

mardi 3 mars 2015

Bocaux arables


Ils soutiennent que "l'éducation occidentale est un péché". Raison pour laquelle ils détruisent, avec un acharnement exacerbé, toutes ces choses qui rappellent l'Occident : écoles, églises, supermarchés, etc. Vieillards, estropiés, femmes, enfants... Ils n'épargnent personne. Il suffit qu'ils vous jugent appartenir de par vos convictions ou habitudes au camp occidental. Pourtant, ils utilisent les véhicules de l'Occident pour se déplacer. Ils utilisent les armes de l'Occident pour semer la mort et la désolation. Ils placent leurs sales tronches face aux caméras fabriquées par l'Occident pour passer leurs messages incendiaires. Ils portent même avec une inélégance ostensible des tenues qu'ils n'ont pas fabriquées eux-mêmes. En clair, c'est ce qui s'appelle manquer de logique ou encore être en contradiction avec soi-même. Mais ils sont beaucoup trop incultes pour s'en rendre compte...
Je le précise tout de suite, je ne suis pas franchement l'un des meilleurs amis de l'Occident parce que pour moi, dans l'histoire de l'Humanité, Occident rime bien trop souvent avec Accident. Seulement, moi je mets en avant la valeur de la vie humaine. Oui, quelle qu'en soit la couleur, la vie humaine est sacrée et doit rester telle. Pourquoi donc au nom d'un fondamentalisme doublé d'un fanatisme religieux, des individus se permettent-ils de débarrasser la terre de toutes ces vies qu'eux seuls estiment n'y avoir pas place ? J'espère vraiment être là quand ils en répondront devant le Créateur, unique décideur de la destinée humaine. Heureusement, rien de ce qu'ils pensent et font n'est écrit dans aucun Livre Saint...
Je suis tellement dégoûté que je préfère m'arrêter là...