Elle paraissait vraiment
irréelle, à la voir de plus près. Ses yeux argentés étaient à équidistance d’un
nez fin en dessous duquel se dessinait une bouche comme on n’en trouve que dans
les telenovelas. Tous ces organes
étaient repartis sur un ovale délicat couronné de cheveux longs et
impeccablement peignés. Son teint à la coloration café n’avait manifestement
subi la moindre érosion depuis sa naissance, et sa robe épousait parfaitement
sa silhouette aussi gracieuse que celle d’un top model. Elle aurait vraiment
été parfaite pour faire la une d’un magazine people. (…) Ses longs cheveux
grossièrement rassemblés en une espèce de chignon la rendaient beaucoup plus
sensuelle. La petite serviette rose qu’elle avait, en plus, ceinte sur la
poitrine et s’arrêtant à mi-cuisse dévoilait des jambes qu’on devinait aussi
lisses que de l’argile verte mouillée. (Extraits
de « Amour interdit », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)
Même marqués par une sorte de
lassitude, ses traits révélaient toute leur finesse. Ainsi que ses yeux, leur
éclat. Ses lèvres qu’elle avait entrouvertes dans l’élan de la réflexion
présentaient des dents d’un blanc insoupçonné de bien de générations d’artistes
peintres. (…) Le maillot deux pièces en fausse peau de panthère lui paraissait
une première couche épidermique, tellement il épousait le clair-obscur de son
teint. Sa silhouette était d’une agréable finesse avec des crêtes iliaques
légèrement saillantes soutenues par des cuisses oblongues et des jambes
fuselées en dessous d’un ventre plat et surtout une poitrine déformant
convenablement la pièce supérieure du maillot. (…) Le pantalon de lastex noir
semblait avoir été directement cousu sur elle, tellement il lui faisait
ressortir les formes. Plus haut, un body crème faisait tout sauf dissimuler une
poitrine épargnée pour l’occasion du moindre soupçon de soutien-gorge. Son
visage ravissant était imprégné d’une sensualité quelque peu bestiale, surtout
avec sa bouche qui, pour cette soirée spéciale, semblait n’avoir été conçue que
pour embrasser. Quant à ses longs cheveux, elle les avait rassemblés en une
coiffe qui l’aurait mise au top pour un défilé de carnaval. Elle dégageait,
pour tout dire, une radioactivité sensuelle à reconvertir le pédéraste le plus
dévoué. (Extraits de « Le répétiteur
tant aimé », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)
Une jeune fille se tenait sur le
perron. Son visage était d’une beauté toute particulière avec surtout une
bouche dont elle devait sans doute l’épaisseur à des liens familiaux lointains
avec Angelina Jolie. Ses cheveux bouclés comme ceux d’une altesse sérénissime
du XVIIème siècle britannique ajoutaient, eux, une touche royale à
son charme. Et son tricot au col assez profond présentait les premières courbes
d’une paire de seins mûrs tandis que son pantalon, à l’étroit, lui moulait les
cuisses fuselées. Le genre de fille sur qui on ne peut se lasser de promener le
regard… (…) En pantalon de cuir noir avec un tee-shirt dont le col seul
rappelait qu’il était blanc, dégoulinante de sueur, échevelée, démaquillée, le
regard comme effaré… elle était tout simplement sauvage. Mais en même temps si
attirante… (Extraits de « Amours
jumelles », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)
Larissa, avec le pas lent et
assuré d’une impératrice venait de faire son apparition dans la grande salle,
aussitôt couvée de mille et un regards. Entre son visage dont la finesse des
traits témoignait de l’intarissable inspiration du Créateur, ses formes qui
bien que pas très généreuses gardaient leurs distances avec la sveltesse et
surtout sa poitrine sur laquelle la main la plus innocente même aurait eu envie
de s’attarder, (…) renoncer à elle aurait été aussi téméraire que faire la
grève de la faim devant une pizzeria. (Extraits
de « Amours croisées », in Les Méandres de l’Amour, Tome 1, Les Editions du Net, Paris, 2014)
Elle était incontestablement la
plus belle de la salle avec la fleur couleur framboise dans ses cheveux
bouclés. Son visage d’une faramineuse finesse hébergeait des yeux de lynx, un nez
aux confins de la droiture et une bouche comme dessinée par Picasso lui-même.
Le tout était rehaussé par un maquillage léger et agencé sur l’ovale avec une
précision fantasmagorique. Elle était tout simplement belle comme les
sud-américaines savent si souvent l’être. (…) Avec sa poitrine pleine, ses
hanches délicatement arrondies et ses cuisses fuselées, elle était
appétissante. (…) Ondulant entre les tables, elle arrivait, plus ravissante que
deux jours auparavant. La mini-robe cachait à peine les deux premiers tiers de
ses cuisses, offrant aux regards deux belles jambes bronzées. Sa poitrine était
rendue encore plus agressive par les pointes de ses seins bien mises en
évidence par la flagrante absence de soutien-gorge sous la robe. De quoi
désarmer le plus coriace des miliciens. Elle faisait taire toutes les
conversations sur son passage et son dos nu narguait fièrement ceux qui se
retournaient stoïquement pour la contempler. (Extraits de « Le collectionneur (d’amours) », in Les
Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)
Des cheveux noirs très abondants. Des yeux grands et clairs qui semblaient s’agrandir davantage. Puis de fines lèvres qui frémissaient, qui bougeaient et qui semblaient prononcer quelque chose (…) Cette dernière avait des yeux dont l’éclat stellaire animait un beau visage aux traits réguliers. Ses cheveux noirs et coupés très court sur la nuque lui donnaient un air juvénile contrastant avec les rondeurs d’un corps ferme et une poitrine rebondie. (…) Ses cheveux qu’elle avait laissés au vent, bien que coupés court, vibraient sur sa tête. Ce qui, allié à la gaieté de son visage, lui donnait plus que jamais un air de gamine, mais toujours en contraste parfait avec le reste de son corps rappelant, lui, celui d’une femme accomplie. (…) elle avait complètement déboutonné sa chemise, mettant en exergue la nudité d’un ventre plat et des seins parcimonieusement dissimulés par un soutien-gorge des plus généreux. (Extraits de « Amour sauvage », in Les Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)
D’où sortait-elle,
celle-là, avec ce charme saturnien ? Les cheveux au vent, le regard
désarmant, le sourire angélique, les dents d’un blanc scintillant, la forme
élancée à peine protégée par le fameux tee-shirt des serveuses du bar supra un
jeans qui, dans un passé lointain, avait dû passer le premier tiers de ses
cuisses… elle sortait vraiment de l’ordinaire. (…) Sonia était vraiment
ravissante. Non seulement elle avait un sourire hallucinant de beauté, mais ce
qui troublait le plus chez elle c’était le sex-appeal qui se dégageait de sa
plastique apparaissant pour le coup dans toute sa générosité sous la petite
robe couleur arc-en-ciel. (Extraits de
« Love is money », in Les
Méandres de l’Amour, Tome 2, Les Editions du Net, Paris, 2015)
La beauté (…), elle en est
indubitablement l’incarnation ce soir. (…) Ses cheveux plissés en cascade
couronnent son beau, son doux visage empreint d’une joie indescriptible tandis
que ses sourcils délicatement rangés accentuent l’éclat de ses yeux couleur de
miel. (…) Elle est splendide dans sa robe de toile d’une blancheur marmoréenne.
Elle (…) sourit tendrement. (…) C’est l’un de ces sourires qui restaurent la
vue à l’aveugle. (Le temps qu’il l’admire bien entendu.) Dieu, qu’elle est
belle ! (…) elle est sublime. Le bikini semble avoir été coulé sur elle.
Son corps est doré au soleil et son sourire, toute une féerie. (Extraits de « Au tréfonds de
l’amour », in Les Méandres de l’Amour, Tome 3 – Á paraître)
(…) une fille
s’était levée depuis les rangées de l’arrière-salle, avait parcouru l’allée
avant de gravir les marches du podium. Comme elle approchait, la lumière d’un
projecteur l’avait éclairée (…) Le léger maquillage donnait à son visage un
charme tout particulier. La longue robe noire lui allait comme un gant, faisant
ressortir de quoi causer une épidémie de torticolis sur son passage. Sa
poitrine, tendant le tissu à le perforer, surplombait un bassin légèrement
cambré tandis que plus bas, la fente de la robe découvrait une jambe dont une
représentation grandeur nature aurait assurément fait l’objet d’un cambriolage
au musée des arts et civilisations. (Extraits
de « Le dernier sursaut d’amour », in Les Méandres de l’Amour, Tome 3 – Á paraître)
Avec sa chevelure abondante et soyeuse, sa mine dont le
caractère angélique était fréquemment démenti par un sourire carnassier, la
petite robe de soirée lamée d’argent offrant au balconnet du décolleté une
poitrine qui aurait attiré même la main d’un manchot, ses longues jambes
fuselées... elle incarnait tout
simplement la tentation. (…) Sa traversée du restaurant avait fait exécuter un
véritable ballet à tout le monde ; personne – hommes comme femmes –
n’ayant pu résister à l’envie de se retourner sur son passage. Son compagnon,
lui, ne pouvait dissimuler le bonheur de se trouver aux côtés d’une créature
aussi magnifique. (…) Le bikini semblait avoir été peint sur elle, tellement il
était serré. La poitrine déformant convenablement la pièce supérieure du
maillot, le ventre plat strictement nu et le pubis pointant légèrement à
travers le mince slip, elle réapparut. (Extraits
de « Entretien de débauche », in Vicissitudes, Harmattan, Paris, 2015)
Toujours présentable, les cheveux impeccablement peignés, les vêtements conjuguant propreté et style… Et, pour couronner le tout, un visage dont l’étonnante beauté témoignait de la dextérité du Créateur. (…) Avec sa mine dont le charme était rehaussé par un léger sourire, la robe de soirée à l’avant décoré de fines paillettes et dont le décolleté assez profond laissait entrevoir une poitrine attrayante et palpitante… elle incarnait tout simplement le rêve impossible. (Extrait de « La balade de clerc », in Vicissitudes, Tome 2 – Á paraître)
PS : Il est
vrai que je ne sers là que la description de la beauté féminine dans sa plus
jeune expression. Mais, entendons-nous bien, la beauté de la femme n’a pas
d’âge et, comme le montrent les images, pas de frontières non plus…
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