Sigrid !...
Un vrai canon de beauté qui crible de sensations
vertigineuses tous les mâles qui ont la grâce de croiser son chemin.
A combien s’évaluent tes victimes, les victimes
de ton anatomie démesurément sublime ?
Seul un ordinateur de dernière génération
pourrait répondre avec une ébauche d’exactitude à cette question.
Se souvenir de toi, c’est un
voyage mirifique auquel on n’envisagerait aucun retour.
Parler
de toi, c’est une poésie chantonnante pour laquelle on est prêt à enfreindre
les règles de la versification.
Te
regarder, c’est un film captivant auquel on aurait souhaité qu’il n’y ait
jamais de fin.
Intelligence
et beauté se mêlent en ton être dans la proportion du jaune d’œuf et de l’huile
dans une omelette parfumée.
A
propos de parfum, celui que dégage ton corps, plus délicat que le duvet du kétoupa
malais, est de la gamme
De
ceux qui enivrent de désir celui qui le reçoit dans les glandes nasales.
Et ton sourire… Ah ! Quelle
merveille ! Un sourire qui découvre des dents d’une blancheur à faire
pâlir une nuit sans étoile. Un sourire à désarmer, sans qu’il s’en rende
d’ailleurs compte, le plus farouche des « forces nouvelles ».
Un sourire… Un sourire comme on n’en voit que
dans les songes précédant l’aube.
Il
n’existe vraisemblablement aucune voie de recours face à l’hébétement dû à ce
charme faramineux
Qui
vous illumine la rétine des yeux, vous trouble, vous donne la sensation de
perdre de la pesanteur avant de vous
Transporter
loin, très loin, à des années lumière de cette planète polluée par la
silhouette de ceux qui n’ont pas pu
Ou
qui n’ont pas su l’imiter, a fortiori l’égaler…
Extrait de "Le répétiteur tant aimé", in Les méandres de l'amour Tome 1 (A paraître)
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