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lundi 24 septembre 2012

Drogba version 3-4.5.6


Après avoir ouvert son compteur perso en frappant par deux fois (voir super Drogba), notre DD n'en finit plus d'envoyer les gardiens adverses débarrasser leurs cages. Régalez-vous avec les 3è, 4è, 5è et 6è réalisations du goléador éburnéen, en VO pour votre plaisir.

3è et 4è buts (25/08/2012 Shandong Luneng 3-3 Shangai Shenhua)

















5è but (15/09/2012 Shangai Shenhua 3-0 Liaoning Whowin)


6è but (22/09/2012 Shangai Shenxin 1-1 Shangai Shenhua)

















La légende continue...

NB: Comptez pas sur moi pour la traduction. Débrouillez-vous comme DD lors de sa première interview...


 

mercredi 19 septembre 2012

Lettre d'un amoureux transi


Sigrid !...
Un vrai canon de beauté qui crible de sensations vertigineuses tous les mâles qui ont la grâce de croiser son chemin.
A combien s’évaluent tes victimes, les victimes de ton anatomie démesurément sublime ?
Seul un ordinateur de dernière génération pourrait répondre avec une ébauche d’exactitude à cette question.
Se souvenir de toi, c’est un voyage mirifique auquel on n’envisagerait aucun retour.
Parler de toi, c’est une poésie chantonnante pour laquelle on est prêt à enfreindre les règles de la versification.
Te regarder, c’est un film captivant auquel on aurait souhaité qu’il n’y ait jamais de fin.
Intelligence et beauté se mêlent en ton être dans la proportion du jaune d’œuf et de l’huile dans une omelette parfumée.
A propos de parfum, celui que dégage ton corps, plus délicat que le duvet du kétoupa malais, est de la gamme
De ceux qui enivrent de désir celui qui le reçoit dans les glandes nasales.
Et ton sourire… Ah ! Quelle merveille ! Un sourire qui découvre des dents d’une blancheur à faire pâlir une nuit sans étoile. Un sourire à désarmer, sans qu’il s’en rende d’ailleurs compte, le plus farouche des « forces nouvelles ».
Un sourire… Un sourire comme on n’en voit que dans les songes précédant l’aube.
Il n’existe vraisemblablement aucune voie de recours face à l’hébétement dû à ce charme faramineux
Qui vous illumine la rétine des yeux, vous trouble, vous donne la sensation de perdre de la pesanteur avant de vous
Transporter loin, très loin, à des années lumière de cette planète polluée par la silhouette de ceux qui n’ont pas pu
Ou qui n’ont pas su l’imiter, a fortiori l’égaler…

Extrait de "Le répétiteur tant aimé", in Les méandres de l'amour Tome 1 (A paraître)

Conversation trash


- Vois-tu, j’ai passé presque toute ma vie à parcourir les cinq continents à la recherche de ce qui fait l’essence de l’art. Tu viens d’Afrique, n’est-ce pas ?
Il fit timidement « oui » de la tête.
- C’est pourquoi je t’ai choisi. Car, au-delà de toutes vos richesses culturelles, il y a quelque chose qui m’a marquée à chacun de mes séjours sur vos terres : votre virilité.
- Pardon ? ne put-il s’empêcher de demander.
- Oui, la taille de votre phallus. Ça m’a toujours fascinée, fit-elle, les yeux comme rêveurs.
(…)
- Qu’est-ce que vous essayez de me faire comprendre là ?
- Je crois pourtant que tu comprends parfaitement. Tu seras mon amant, fit-elle en le fixant ardemment du regard. On trinque ?
On n’aurait pas pu dire qu’elle n’y allait pas direct… Il hésita.
- Allez, prends donc ce verre. Je vais quand même pas te droguer.
Sans répondre, il porta également son verre à ses lèvres. C’est vrai que depuis son arrivée en occident, il avait la libido un peu grinçante. Mais, de là à se taper une vieille nymphomane…
(…)
- O. K. Et on commence quand ? questionna-t-il, dégoûté d’avance.
- Bah, tout de suite, mon grand. J’ai déjà fait chauffer le sauna.
- Et ce sera quoi la suite ?
- La suite, c’est tous les week-ends. Même lieu, même heure. Et tu as intérêt à être performant, hein. Pas de triche avec moi, prévint-elle.
- Je ferai de mon mieux, dit-il prudemment.
- A propos, j’ai vu un acteur black dans un film X récemment. J’espère que tu es aussi bien monté que lui car il m’arrive de faire des dégâts regrettables lorsque je reste sur ma faim. Allez, un autre verre ?
(…)
- Bien, maintenant on monte, annonça-t-elle en se levant.
Il hésita à en faire de même.
- Tu viens ? fit-elle en marchant vers l’escalier. Hé, un peu d’enthousiasme, chéri. Je paie bien en plus… Et puis, tu peux laisser tes gros ciseaux là. La seule touffe que tu risques de tailler ici, je l’ai au bas-ventre.

Extrait de "Eldo-radeau", in Des Vies A Refaire Tome 1 (A paraître)